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Le beach-volley, sport de communication en équipe

Le volleyball de plage demande une bonne forme physique et fait beaucoup travailler le système cardiovasculaire, la détente et la vélocité. L’inertie du sable oblige le joueur à forcer davantage pour sauter et se déplacer, mais protège des douleurs du dos typiques du volley-ball sur sols durs.

Du fait du petit nombre de joueurs, le beach-volley exige un travail de communication en équipe qui se traduit par un ensemble de signaux de mains que le joueur placé à l’avant dissimule dans son dos à destination de son ou ses coéquipiers. Ainsi, le beach-volley contribue à développer le sens du collectif.

Les risques du beach-volley

Les principaux accidents liés au beach-volley sont les traumatismes des membres et, en particulier, l’entorse de la cheville. Mais le genou, le poignet et les doigts (lors de contacts un peu rudes avec le ballon) ne sont pas à l’abri d’entorses, voire de fractures des doigts lors des contres. Parfois, des tendinites sont observées au niveau du bras qui sert ou qui smashe.

Néanmoins, le souci de santé le plus fréquent en beach-volley reste… le coup de soleil ! Lorsqu’on joue, on perd conscience du temps qui passe. Sous l’effet du rayonnement ultra-violet direct et de celui renvoyé par le sable, il est facile de virer à l’écrevisse.

Pour profiter du beach-volley en toute sécurité

Évitez de vous mettre à jouer de manière intense directement après une sieste sur le sable. Commencer par courir et sautiller sur place sollicite les systèmes cardiovasculaire et respiratoire. Les étirements préparent vos muscles et vos articulations à l’effort.

Enchaînez avec une partie « à blanc » où vous jouerez à petit régime, pour échauffer les muscles et les tendons qui vont être ensuite fortement sollicités.

Bien sûr, protégez-vous des méfaits du soleil : chapeau, crème solaire à fort indice de protection, t-shirt, etc. Des lunettes solaires antichoc protégeront vos yeux des projections de sable et des ultra-violets.

Enfin, pour éviter les entorses de la cheville, il est possible d’utiliser des bandes de protection adhésives ou cohésives (« strapping ») qui limitent les mouvements sur les côtés.

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