Risques d’incendie d’une batterie lithium-Ion
13 juin 2025
26 septembre 2022
Chaque mode de contraception féminine a ses avantages et ses inconvénients qu’il faut connaître pour choisir celui le plus adapté à ses attentes.
Les mesures à prendre lors d’un oubli de pilule varient selon le type de pilule (estroprogestatives ou microprogestatives) et la durée écoulée depuis l’oubli (depuis l’heure de prise habituelle).
S’il y a eu oubli de deux comprimés ou plus, ou si un rapport sexuel a eu lieu dans les cinq jours précédant l’oubli, il est nécessaire de consulter son médecin ou son pharmacien rapidement pour utiliser une méthode de contraception d’urgence (pilule dite « du lendemain » ou pose d’un stérilet au cuivre).
Si l’oubli date de moins de 12 heures (pilules estroprogestatives) ou de moins de 3 heures (microprogestatifs), sauf mention particulière de la notice, il faut prendre immédiatement le comprimé oublié et poursuivre le traitement à l’heure habituelle, même si cela signifie prendre deux comprimés le même jour.
Si l’oubli date de plus de 12 heures (pilules estroprogestatives) ou de plus de 3 heures (microprogestatifs), sauf mention particulière de la notice :
il faut prendre immédiatement le comprimé oublié et poursuivre le traitement à l’heure habituelle, même si cela signifie prendre deux comprimés le même jour ;
il faut utiliser, en cas de rapport sexuel dans les sept jours suivants, une seconde méthode de contraception non hormonale (par exemple, des préservatifs) ;
si la pilule est estroprogestative, et si la période de sept jours avec préservatifs s’étend au-delà du dernier comprimé actif de la plaquette en cours, il ne faut pas prendre les comprimés inactifs et démarrer immédiatement une nouvelle plaquette.
Gare aux erreurs d’utilisation des contraceptifs locaux !
Lorsqu’on utilise un spermicide, il est déconseillé de se laver au savon ou de prendre un bain avant un rapport et durant les quatre heures qui suivent, sous peine d’inefficacité.
Hormis l’éponge spermicide et la cape cervicale qui restent efficaces en cas de rapports répétés, une nouvelle contraception locale est indispensable avant un second rapport.
Une rupture de préservatif implique de consulter un médecin ou un pharmacien pour mettre en place une contraception d’urgence. De plus, si le partenaire est occasionnel ou s’il est séropositif pour le VIH, une visite aux services d’urgence est nécessaire pour évaluer la nécessité de recevoir un traitement dit « post-exposition au VIH », destiné à prévenir l’infection par le VIH/sida.
Sources