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Choix d’un casque pour les sports d’hiver : quelques points à garder en tête

En matière de sports d’hiver, le taux du port du casque est en progression mais il reste insuffisant notamment chez les adultes et les adolescents. Aujourd’hui, 95 % des enfants portent le casque de protection contre 15 % en 1995, selon l’association des Médecins de montagne. Le taux d’équipement chez les plus jeunes a donc fait d’énormes progrès, mais des efforts restent à faire chez les adolescents (85 %) et les adultes (62%).

La composition du casque

Le casque est constitué de trois couches :

Chaque couche possède ses propriétés spécifiques. Le rembourrage interne n’influe que faiblement sur la qualité protectrice du casque, tandis que la calotte et le rembourrage protecteur sont essentiels au bon encaissement des chocs.

Un casque de ski protège également contre le froid, le vent et la neige. De plus, des entrées d’air réglables permettent de maintenir une température interne optimale et permettent à la transpiration de s’évacuer.

La norme et la signalisation : les impératifs pour les casques

Un casque destiné aux sports d’hiver doit comporter la norme NF (ou CE) EN 1077, spécifique aux casques de ski et de snowboard. La calotte doit également mentionner de façon apparente la taille du casque, le marquage commercial, l’indication de sa masse en gramme et l’année ainsi que le mois de fabrication.
Les normes des casques destinés à la pratique de la luge sont différentes. Il s’agit de la norme NF (ou CE) EN 13484.

L’achat du casque pour les sports d’hiver : les points à vérifier

Avant d’acheter un casque, prenez le temps de l’essayer et vérifiez ces points :

Pensez aussi à vérifier la compatibilité du casque avec vos lunettes ou votre masque. Enfin, un casque confortable est un casque léger. Aujourd’hui, le poids des casques oscille généralement entre 400 et 700 grammes.

Que faire lorsque son casque a pris un choc important ?

Après un choc d’envergure, le casque devra être remplacé. Un seul choc suffit à fragiliser le casque et à le rendre inutilisable, même s’il ne comporte aucune fissure visible.

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