Les manifestations de l’allergie
20 mars 2025
Manier la crosse, observer l’adversaire, parer les attaques tout en patinant : il faut être un excellent patineur pour apprécier pleinement le hockey sur glace et se faire plaisir.
Mais des initiations existent, ainsi que des formes adaptées. Si vous avez toujours rêvé de patiner après le palet, pourquoi ne pas essayer ?Ce sport collectif, qu’il faut bien qualifier de brutal, est réservé aux personnes de moins de 40 ans. Les changements de rythme qu’il demande sont extrêmement violents pour le système cardiovasculaire. Sur la glace, tout va plus vite et les matchs sont longs, même si la présence de chaque joueur sur le terrain est plus ou moins brève.
Pour répondre à ces contraintes, un entraînement de base pour développer l’endurance doit être associé au hockey (course, rameur, vélo, etc.).
Les problèmes médicaux rencontrés dans le hockey sur glace sont dus aux chocs entre joueurs, contre la rambarde ou sur la glace.
Les muscles prennent de nombreux coups : contusions, déchirures ou ruptures sont monnaie courante, notamment au niveau des bras et des épaules où se produisent la plupart des contacts.
Les articulations des épaules peuvent également être victimes d’entorses. Le hockeyeur peut parfois souffrir de bursite, une inflammation des poches de glissement qui protègent certaines articulations, à cause des frottements de l’équipement.
Les tendons sont moins touchés qu’en patinage artistique, même si des tendinites peuvent parfois se produire au niveau du pied. Le maniement de la crosse peut également entraîner des tendinites du coude ou de l’épaule.
La peau du pied frotte parfois un peu trop dans le patin. On observe alors les problèmes classiques de ce genre de situation : ampoules, brûlures, crevasses, durillons, etc.
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Sources
Fédération française de hockey sur glace
Médicosport Santé, Comité national olympique et sportif français, 2021